Botte de paille

Fay-les-Etangs (60) 

Programme : Concours logements inclusif
Maîtrise d'ouvrage : Happy Homes
Budget : 350 000 € HT
Equipe : grenue & Nolwenn Keromnes
Avancement : Concours gagné, esquisse
Crédit image : Antoine Kerzerho

Botte de paille

Fay-les-Etangs (60) 

Programme : Concours logements inclusif
Maîtrise d'ouvrage : Association Happy Homes
Budget : 350 000 € HT
Equipe : grenue & Nolwenn Keromnes
Avancement : Concours gagné, esquisse en cours
Crédit image : Antoine Kerzerho

Dans le cadre du concours ARCHsharing, l’association Happy homes demande de penser une maison d’accueil qui permet à la fois d’héberger des personnes en situation d’isolement social et de recueillir des animaux abandonnés. Le principe : une aide mutuelle entre l’humain et l’animal. C’est en réponse à cette commande que le projet « botte de paille » lauréat du concours est dessiné. 

Un vaste champs de blé, rythmé de sillons, au bout du quel s’érige un hangar. Il est emplis des récoltes de la fin de l’été, la paille y est à l’abris. C’est de cet imaginaire collectif que le projet se construit.

Une structure légère en bois supporte une toiture en tôle. Cet ensemble reprend les codes architecturaux génériques du hangar agricole, répondant par la même occasion à un contexte rural où il trouve naturellement sa place.


La botte de paille quant à elle, dessine aussi bien les espaces paysagé, l’architecture ou le mobilier. C’est un matériau abondant localement, issu de la production agricole, il isole les espace et absorbe le carbone. Cocon protecteur pour l’homme, la paille constitue également le lit des animaux.

Botte de paille

Fay-les-Etangs (60) 

Programme : Concours logements inclusif
Maîtrise d'ouvrage : Association Happy Homes
Budget : 350 000 € HT
Equipe : grenue & Nolwenn Keromnes
Avancement : Concours gagné, esquisse en cours
Crédit image : Antoine Kerzerho

Dans le cadre du concours ARCHsharing, l’association Happy homes demande de penser une maison d’accueil qui permet à la fois d’héberger des personnes en situation d’isolement social et de recueillir des animaux abandonnés. Le principe : une aide mutuelle entre l’humain et l’animal. C’est en réponse à cette commande que le projet « botte de paille » lauréat du concours est dessiné. 

Un vaste champs de blé, rythmé de sillons, au bout du quel s’érige un hangar. Il est emplis des récoltes de la fin de l’été, la paille y est à l’abris. C’est de cet imaginaire collectif que le projet se construit.

Une structure légère en bois supporte une toiture en tôle. Cet ensemble reprend les codes architecturaux génériques du hangar agricole, répondant par la même occasion à un contexte rural où il trouve naturellement sa place.


La botte de paille quant à elle, dessine aussi bien les espaces paysagé, l’architecture ou le mobilier. C’est un matériau abondant localement, issu de la production agricole, il isole les espace et absorbe le carbone. Cocon protecteur pour l’homme, la paille constitue également le lit des animaux.

Par sa forme simple, la botte participe à la modularité de l’espace d’activité à travers différents usages, elle sert de banc pour l’homme, d’obstacle pour le dressage et de base pour la plantation de fruit et légumes. Les espaces commun du projet révèlent la paille par transparence, traduisant une volonté éco- pédagogique. Le bâtiment est pensé selon les principes bioclimatiques : Au Sud, un espace tampon générateur de chaleur, tandis qu’au Nord, une façade sans ouverture limitant les déperditions. Enfin, un toit unique vient abriter tous les occupants de cette communauté et ponctue le paysage d’un geste franc et silencieux.

Par sa forme simple, la botte participe à la modularité de l’espace d’activité à travers différents usages, elle sert de banc pour l’homme, d’obstacle pour le dressage et de base pour la plantation de fruit et légumes. Les espaces commun du projet révèlent la paille par transparence, traduisant une volonté éco- pédagogique. Le bâtiment est pensé selon les principes bioclimatiques : Au Sud, un espace tampon générateur de chaleur, tandis qu’au Nord, une façade sans ouverture limitant les déperditions. Enfin, un toit unique vient abriter tous les occupants de cette communauté et ponctue le paysage d’un geste franc et silencieux.